La magie / le contrôle de réalité / la vraie nature humaine
“Heureux ceux qui connaissent les lois, les causes et les conséquences de toutes choses
Basé sur la synthèse des connaissances fondamentales de l’ontologie, de la théosophie et des enseignements de l’Orient.
Partie 1
« Je te place au centre du monde, afin que de là, il te soit facile d’observer tout ce qui existe dans ce monde.
Je ne t’ai pas créé céleste, ni terrestre, ni mortel, ni immortel, afin que toi-même, libre et maître glorieux, tu puisses te façonner dans l’image que tu préfères. »
Il est plus simple de vérifier soi-même si la magie existe dans la vie réelle.
Les choses incompréhensibles pour l’homme cessent d’exister pour lui, basculant dans le domaine de la fiction ou de l’inconnaissable.
Saint Augustin l’a très justement souligné :
« Les miracles ne contredisent pas la nature, mais la nature telle que nous la connaissons. »
Le contrôle de la réalité est un art magique et une science consistant à provoquer les changements, événements et effets désirés, en accord avec sa volonté, en manipulant les énergies naturelles des forces de la nature.
Cet art peut être maîtrisé en atteignant un certain niveau de perfection de ses sens et de sa conscience.
Cela n’est possible que par le processus de connaissance de soi.
Ce n’est qu’en se connaissant soi-même que l’on peut comprendre le monde.
Et ce n’est pas seulement un conseil des anciens, mais aussi une formule magique pour contrôler sa réalité.
Il existe, par exemple, deux proverbes simples qui reflètent bien cette essence :
Le premier dit que celui qui sème des pensées et des actes récolte des habitudes, qui forment le caractère et déterminent le destin (autrement dit, la réalité).
Le second affirme que le bonheur vient à celui qui est heureux, et le malheur à celui qui est malheureux (ceci concerne l’état d’esprit et la perception).
« Deux hommes regardaient par une même fenêtre.
L’un voyait la pluie et la boue, l’autre un feuillage verdoyant, le printemps et un ciel bleu. »
Aussi banal que cela puisse paraître, notre réalité est principalement conditionnée par nos pensées et notre propre perception.
« Rien n’est bon ou mauvais en soi, seules nos pensées en font ce qu’il est. »
Cette remarque triste mais juste de Shakespeare résume l’essence des choses.
Les pensées, combinées aux sentiment et émotions , deviennent des croyances et forment les bases morales, spirituelles et psychologiques d’une personne, ainsi que sa vision du monde.
Les pensées sont une énergie vivante, une force.
Cependant, il est important de noter que nous pouvons constamment désirer de nombreuses choses dans nos pensées sans jamais les obtenir. Pourquoi cela se produit il ?
Parce que nous obtenons principalement ce pour quoi notre corps, notre psyché et notre esprit sont véritablement alignés.
Exemples :
1. Une personne souhaite obtenir une promotion professionnelle, un poste à responsabilités et bien rémunéré
Cependant, par nature, elle manque totalement d’initiative, est incapable de prendre des décisions fermes ou de se responsabiliser, et évite cela aussi bien dans sa vie personnelle que professionnelle.
2. Une personne indépendante et libre souhaite fonder une famille, mais elle est obsédée par l’idée que cela pourrait nuire à sa carrière et à sa liberté de décision. Elle craint profondément de perdre son temps précieux dans des routines familiales
Pensez-vous que leurs souhaits se réaliseront ?
Pour atteindre un résultat désiré, il est nécessaire que le corps, l’âme et l’esprit soient en harmonie.
En conséquence, nous recevons ce à quoi nous pensons, ce pour quoi nous sommes en harmonie et ce que nous méritons par nos actes et nos intentions.
Nous attirons également facilement ce sur quoi nous concentrons toute notre attention, tout notre corps et toute notre âme.
Malheureusement, cela peut également inclure nos plus grandes peurs et nos pires fantasmes.
L’univers est absolument neutre, réalisant précisément ce que nous avons créé avec soin et intensité dans notre imagination.
Ainsi, notre vision du monde et notre perception de nous-mêmes et du monde extérieur déterminent notre réalité.
Avant de contrôler sa réalité, il est essentiel d’apprendre à se contrôler, ce qui, comme déjà mentionné, nécessite un processus de connaissance de soi (tout au long de la vie).
Partie 1
« Je te place au centre du monde, afin que de là, il te soit facile d’observer tout ce qui existe dans ce monde.
Je ne t’ai pas créé céleste, ni terrestre, ni mortel, ni immortel, afin que toi-même, libre et maître glorieux, tu puisses te façonner dans l’image que tu préfères. »
Il est plus simple de vérifier soi-même si la magie existe dans la vie réelle.
Les choses incompréhensibles pour l’homme cessent d’exister pour lui, basculant dans le domaine de la fiction ou de l’inconnaissable.
Saint Augustin l’a très justement souligné :
« Les miracles ne contredisent pas la nature, mais la nature telle que nous la connaissons. »
Le contrôle de la réalité est un art magique et une science consistant à provoquer les changements, événements et effets désirés, en accord avec sa volonté, en manipulant les énergies naturelles des forces de la nature.
Cet art peut être maîtrisé en atteignant un certain niveau de perfection de ses sens et de sa conscience.
Cela n’est possible que par le processus de connaissance de soi.
Ce n’est qu’en se connaissant soi-même que l’on peut comprendre le monde.
Et ce n’est pas seulement un conseil des anciens, mais aussi une formule magique pour contrôler sa réalité.
Il existe, par exemple, deux proverbes simples qui reflètent bien cette essence :
Le premier dit que celui qui sème des pensées et des actes récolte des habitudes, qui forment le caractère et déterminent le destin (autrement dit, la réalité).
Le second affirme que le bonheur vient à celui qui est heureux, et le malheur à celui qui est malheureux (ceci concerne l’état d’esprit et la perception).
« Deux hommes regardaient par une même fenêtre.
L’un voyait la pluie et la boue, l’autre un feuillage verdoyant, le printemps et un ciel bleu. »
Aussi banal que cela puisse paraître, notre réalité est principalement conditionnée par nos pensées et notre propre perception.
« Rien n’est bon ou mauvais en soi, seules nos pensées en font ce qu’il est. »
Cette remarque triste mais juste de Shakespeare résume l’essence des choses.
Les pensées, combinées aux sentiment et émotions , deviennent des croyances et forment les bases morales, spirituelles et psychologiques d’une personne, ainsi que sa vision du monde.
Les pensées sont une énergie vivante, une force.
Cependant, il est important de noter que nous pouvons constamment désirer de nombreuses choses dans nos pensées sans jamais les obtenir. Pourquoi cela se produit il ?
Parce que nous obtenons principalement ce pour quoi notre corps, notre psyché et notre esprit sont véritablement alignés.
Exemples :
1. Une personne souhaite obtenir une promotion professionnelle, un poste à responsabilités et bien rémunéré
Cependant, par nature, elle manque totalement d’initiative, est incapable de prendre des décisions fermes ou de se responsabiliser, et évite cela aussi bien dans sa vie personnelle que professionnelle.
2. Une personne indépendante et libre souhaite fonder une famille, mais elle est obsédée par l’idée que cela pourrait nuire à sa carrière et à sa liberté de décision. Elle craint profondément de perdre son temps précieux dans des routines familiales
Pensez-vous que leurs souhaits se réaliseront ?
Pour atteindre un résultat désiré, il est nécessaire que le corps, l’âme et l’esprit soient en harmonie.
En conséquence, nous recevons ce à quoi nous pensons, ce pour quoi nous sommes en harmonie et ce que nous méritons par nos actes et nos intentions.
Nous attirons également facilement ce sur quoi nous concentrons toute notre attention, tout notre corps et toute notre âme.
Malheureusement, cela peut également inclure nos plus grandes peurs et nos pires fantasmes.
L’univers est absolument neutre, réalisant précisément ce que nous avons créé avec soin et intensité dans notre imagination.
Ainsi, notre vision du monde et notre perception de nous-mêmes et du monde extérieur déterminent notre réalité.
Avant de contrôler sa réalité, il est essentiel d’apprendre à se contrôler, ce qui, comme déjà mentionné, nécessite un processus de connaissance de soi (tout au long de la vie).
Partie 2
La nature du monde et de l’homme
Il est essentiel de commencer par comprendre brièvement la nature du monde et de l’homme.
La nature de notre monde est divisée en sept plans d’existence, qui s’interpénètrent et forment un tout indivisible :
1. Le monde physique – objectif pour l’homme, ce monde est celui du corps, visible et perceptible.
2. Le monde astral – invisible et subjectif.
3. Le monde mental – également invisible et appartenant au domaine de l’âm
Les trois suivants sont plus subtils :
4. Le monde de Bouddhi.
5. Le monde de Nirvana, qui représente les plans de l’esprit et des causes, où la partie supérieure du mental ou le “monde causal” migre.
6. Le sixième et le septième plans – ils appartiennent au domaine de la Divinité.
Cependant, la conscience de l’homme ordinaire n’a accès qu’aux trois premiers plans : le physique, l’astral et le mental.
C’est sur ces plans que nous allons nous concentrer ici.
De même, chez l’homme, sept principes interagissent :
1. Le physique.
2. L’éthérique ou l’astral.
3. Prana ou la force vitale.
4. L’esprit instinctif.
5. L’intellect ou la raison.
6. L’esprit spirituel – la capacité d’intuition et de clairvoyance.
7. L’esprit supérieur, lié au monde des formes (rupa).
La véritable nature de l’homme est composée de deux substances opposées :
• Une substance organique (le corps).
• Une substance mentale (l’esprit)
Entre ces deux pôles se trouve un centre psychique, qui agit comme intermédiaire. Ce centre psychique, souvent appelé corps astral ou âme, est lié à notre inconscient, ancré dans le système nerveux parasympathique.
En d’autres termes, la nature humaine est triple :
1. Corporelle (physique).
2. Psychique (émotionnelle, astrale).
3. Spirituelle (mentale)
Ainsi, l’homme est soumis aux impulsions de ces trois niveaux :
le physique, le psychique et le mental, et il agit en fonction de l’influence la plus dominante.
• Le corps physique est la forme la plus basse d’existence humaine, un véhicule inférieur qui obéit aux instincts animaux et aux désirs naturels. Lorsque l’homme se laisse dominer par ces désirs, il construit sa réalité sur cette base en y ajoutant ses capacités acquises (comme la ruse et l’intelligence), délaissant ainsi ses principes supérieurs. Ce niveau physique est connecté au mental par une force psychique, que l’on peut appeler force vitale.
• Le corps psychique (astral) est considéré comme le bâtisseur du corps physique (organique). Ces deux corps sont immergés dans la nature matérielle et soumis à ses lois et influences. L’âme se manifeste à travers plusieurs “véhicules de conscience” constitués de matières de densités diverses.
• Le corps mental, la sphère spirituelle de la raison, domine les plans inférieurs. Grâce à sa volonté et sa force vitale, l’homme peut influencer ses corps subordonnés. Le plan mental se manifeste par les pensées et les émotions, qui se cristallisent en convictions et en idées, formant ainsi l’intellect.
La sphère mentale supérieure est le royaume spirituel de la raison. Cependant, il ne s’agit pas de l’esprit lié à l’ego et à la personnalité, mais de celui qui opère indépendamment de la matière physique, en lien avec l’essence spirituelle profonde – le “Moi Supérieur” ou “Esprit Supérieur”.
Ce “Moi Supérieur” est l’essence véritable et principale de l’homme, dotée d’une conscience supérieure. Cependant, cette essence est enveloppée par plusieurs couches qui empêchent sa libération totale.
L’objectif de l’homme doit être de révéler son “Moi Supérieur” et d’éviter de sombrer dans sa nature d'animal
Il suffit de réfléchir aux phénomènes et aux circonstances de la vie quotidienne pour constater que l’être humain interagit avec le monde qui l’entoure de trois manières distinctes.
Il est évident que le corps et la psyché de l’homme dépendent beaucoup plus du monde extérieur que son esprit.
On peut priver une personne de richesse, de pouvoir ou de santé, mais on ne peut lui enlever son esprit ou sa raison, sauf si elle le permet elle-même.
Nous n’avons pas de pouvoir sur les événements extérieurs, mais nous en avons sur notre esprit. En prenant conscience de cela, nous acquérons une véritable force.
Ainsi, la vie humaine, sur les plans corporel et psychique, est immergée dans le monde physique extérieur et suit des rythmes définis, bien que de manière différente :
• Le monde corporel est soumis aux rythmes et aux lois de la nature uniquement.
• La psyché, quant à elle, s’inscrit aussi dans les rythmes du monde extérieur.
• En revanche, la partie spirituelle de l’homme est, dans une certaine mesure, indépendante du monde qui l’entoure et des phénomènes extérieurs.
L’homme vit donc dans un équilibre complexe entre :
1. le monde naturel (terrestre),
2. le monde cosmique,
3. et l’esprit universel.
Derrière le voile des perceptions sensorielles se cache un monde spirituel, intérieur, et une connaissance supérieure élargie, ainsi que des capacités extraordinaires.
Sur le plan spirituel (mental), il est essentiel de trouver en soi une forteresse inébranlable – un centre (l’esprit) – à partir duquel tout est contrôlé :
les informations provenant de l’extérieur, la perception de la réalité, et l’équilibre entre les trois niveaux de l’être humain.
Ces trois niveaux (les instincts, les émotions et les pensées) doivent être maintenus en harmonie.
La plupart d’entre nous sont, en quelque sorte, programmés ou bloqués par des émotions traumatisantes.
Des impressions, émotions ou convictions trop intenses influencent fortement notre vision du monde et deviennent souvent la source de nombreuses distorsions cognitives. L’homme devient alors victime de son expérience subjective.
Un individu avec un esprit (ou un corps mental) non développé est incapable, par un acte de volonté, d’influencer ses centres organiques et psychiques (réflexes, impulsions, émotions).
Il s’habitue ainsi à céder aux influences extérieures et devient esclave de son corps, au lieu d’en être le maître.
C’est pourquoi il est primordial d’apprendre, avant toute chose, à reconnaître clairement tous les processus se déroulant dans son organisme : impulsions, instincts, réflexes, émotions.
Il faut également développer la capacité de les contenir ou de les renforcer, selon sa volonté.
La nature du monde et de l’homme
Il est essentiel de commencer par comprendre brièvement la nature du monde et de l’homme.
La nature de notre monde est divisée en sept plans d’existence, qui s’interpénètrent et forment un tout indivisible :
1. Le monde physique – objectif pour l’homme, ce monde est celui du corps, visible et perceptible.
2. Le monde astral – invisible et subjectif.
3. Le monde mental – également invisible et appartenant au domaine de l’âm
Les trois suivants sont plus subtils :
4. Le monde de Bouddhi.
5. Le monde de Nirvana, qui représente les plans de l’esprit et des causes, où la partie supérieure du mental ou le “monde causal” migre.
6. Le sixième et le septième plans – ils appartiennent au domaine de la Divinité.
Cependant, la conscience de l’homme ordinaire n’a accès qu’aux trois premiers plans : le physique, l’astral et le mental.
C’est sur ces plans que nous allons nous concentrer ici.
De même, chez l’homme, sept principes interagissent :
1. Le physique.
2. L’éthérique ou l’astral.
3. Prana ou la force vitale.
4. L’esprit instinctif.
5. L’intellect ou la raison.
6. L’esprit spirituel – la capacité d’intuition et de clairvoyance.
7. L’esprit supérieur, lié au monde des formes (rupa).
La véritable nature de l’homme est composée de deux substances opposées :
• Une substance organique (le corps).
• Une substance mentale (l’esprit)
Entre ces deux pôles se trouve un centre psychique, qui agit comme intermédiaire. Ce centre psychique, souvent appelé corps astral ou âme, est lié à notre inconscient, ancré dans le système nerveux parasympathique.
En d’autres termes, la nature humaine est triple :
1. Corporelle (physique).
2. Psychique (émotionnelle, astrale).
3. Spirituelle (mentale)
Ainsi, l’homme est soumis aux impulsions de ces trois niveaux :
le physique, le psychique et le mental, et il agit en fonction de l’influence la plus dominante.
• Le corps physique est la forme la plus basse d’existence humaine, un véhicule inférieur qui obéit aux instincts animaux et aux désirs naturels. Lorsque l’homme se laisse dominer par ces désirs, il construit sa réalité sur cette base en y ajoutant ses capacités acquises (comme la ruse et l’intelligence), délaissant ainsi ses principes supérieurs. Ce niveau physique est connecté au mental par une force psychique, que l’on peut appeler force vitale.
• Le corps psychique (astral) est considéré comme le bâtisseur du corps physique (organique). Ces deux corps sont immergés dans la nature matérielle et soumis à ses lois et influences. L’âme se manifeste à travers plusieurs “véhicules de conscience” constitués de matières de densités diverses.
• Le corps mental, la sphère spirituelle de la raison, domine les plans inférieurs. Grâce à sa volonté et sa force vitale, l’homme peut influencer ses corps subordonnés. Le plan mental se manifeste par les pensées et les émotions, qui se cristallisent en convictions et en idées, formant ainsi l’intellect.
La sphère mentale supérieure est le royaume spirituel de la raison. Cependant, il ne s’agit pas de l’esprit lié à l’ego et à la personnalité, mais de celui qui opère indépendamment de la matière physique, en lien avec l’essence spirituelle profonde – le “Moi Supérieur” ou “Esprit Supérieur”.
Ce “Moi Supérieur” est l’essence véritable et principale de l’homme, dotée d’une conscience supérieure. Cependant, cette essence est enveloppée par plusieurs couches qui empêchent sa libération totale.
L’objectif de l’homme doit être de révéler son “Moi Supérieur” et d’éviter de sombrer dans sa nature d'animal
Il suffit de réfléchir aux phénomènes et aux circonstances de la vie quotidienne pour constater que l’être humain interagit avec le monde qui l’entoure de trois manières distinctes.
Il est évident que le corps et la psyché de l’homme dépendent beaucoup plus du monde extérieur que son esprit.
On peut priver une personne de richesse, de pouvoir ou de santé, mais on ne peut lui enlever son esprit ou sa raison, sauf si elle le permet elle-même.
Nous n’avons pas de pouvoir sur les événements extérieurs, mais nous en avons sur notre esprit. En prenant conscience de cela, nous acquérons une véritable force.
Ainsi, la vie humaine, sur les plans corporel et psychique, est immergée dans le monde physique extérieur et suit des rythmes définis, bien que de manière différente :
• Le monde corporel est soumis aux rythmes et aux lois de la nature uniquement.
• La psyché, quant à elle, s’inscrit aussi dans les rythmes du monde extérieur.
• En revanche, la partie spirituelle de l’homme est, dans une certaine mesure, indépendante du monde qui l’entoure et des phénomènes extérieurs.
L’homme vit donc dans un équilibre complexe entre :
1. le monde naturel (terrestre),
2. le monde cosmique,
3. et l’esprit universel.
Derrière le voile des perceptions sensorielles se cache un monde spirituel, intérieur, et une connaissance supérieure élargie, ainsi que des capacités extraordinaires.
Sur le plan spirituel (mental), il est essentiel de trouver en soi une forteresse inébranlable – un centre (l’esprit) – à partir duquel tout est contrôlé :
les informations provenant de l’extérieur, la perception de la réalité, et l’équilibre entre les trois niveaux de l’être humain.
Ces trois niveaux (les instincts, les émotions et les pensées) doivent être maintenus en harmonie.
La plupart d’entre nous sont, en quelque sorte, programmés ou bloqués par des émotions traumatisantes.
Des impressions, émotions ou convictions trop intenses influencent fortement notre vision du monde et deviennent souvent la source de nombreuses distorsions cognitives. L’homme devient alors victime de son expérience subjective.
Un individu avec un esprit (ou un corps mental) non développé est incapable, par un acte de volonté, d’influencer ses centres organiques et psychiques (réflexes, impulsions, émotions).
Il s’habitue ainsi à céder aux influences extérieures et devient esclave de son corps, au lieu d’en être le maître.
C’est pourquoi il est primordial d’apprendre, avant toute chose, à reconnaître clairement tous les processus se déroulant dans son organisme : impulsions, instincts, réflexes, émotions.
Il faut également développer la capacité de les contenir ou de les renforcer, selon sa volonté.
La foi crée la volonté, renforce l’imagination et matérialise les faits.
Partie 3
La volonté et la force vitale ( nerveuse
La volonté est l’instrument de l’esprit, qui dispose toujours d’une réserve de force nerveuse qu’il peut utiliser pour influencer les centres inférieurs (psychique et physique), en bloquant ou en provoquant des émotions, des réflexes et des impulsions. Cela constitue la manifestation de la volonté.
Nos organes sensoriels, ouverts sur le monde extérieur et reliés à la matière, sont connectés à l’esprit (la volonté) par le biais de la force vitale et nerveuse, comme mentionné plus haut.
Les sensations et impressions reçues de l’extérieur par les organes sensoriels sont transmises à un fluide nerveux, qui les relaie au centre psychique. Ce dernier, une fois activé, force ce même fluide à retransmettre les vibrations – ou impulsions – dans la direction opposée.
En termes scientifiques, cela correspond à un processus chimique de génération des impulsions nerveuses par le biais de neurotransmetteurs tels que le glutamate, l’ocytocine, les endorphines, la sérotonine, l’adrénaline, la dopamine, l’histamine, etc.
De même, nos réactions, émotions et impressions naissent dans les profondeurs des structures complexes de notre cerveau.
Cependant, ici, nous ne parlons pas de la matière physique.
Par exemple, je connais personnellement une personne capable de se guérir elle-même ainsi que d’autres individus. Ce n’est pas un don inné, mais une capacité acquise, liée à sa volonté.
Il est très important de noter qu’une impression extérieure n’est pas le seul élément capable de mettre en mouvement le centre psychique impulsif.
Le même effet peut être atteint dans les deux sens par la manifestation de la volonté.
L’esprit (si l’homme est éveillé) dispose toujours d’une réserve de force nerveuse qu’il peut utiliser pour agir sur le centre psychique et stopper tout mouvement réflexe.
C’est là une véritable manifestation de la volonté.
Voici une explication plus détaillée sur la force/énergie nerveuse
que l’on peut également définir comme force vitale ou prana
(mentionnée précédemment).
Elle est un milieu vibratoire, une énergie qui imprègne l’univers tout entier et transmet toutes sortes d’impulsions.
Grâce à cette force, l’esprit (ou la volonté) agit sur le corps via les centres psychiques impulsifs.
Si cette énergie vient à manquer, les centres impulsifs, échappant à tout contrôle, réagissent de manière chaotique au moindre stimulus extérieur, conduisant ainsi l’homme à des jugements erronés.
L’épuisement nerveux est considéré comme une maladie dangereuse.
Cette force ne sert pas seulement à l’esprit pour maintenir les centres inférieurs sous contrôle, mais elle constitue également une source d’imagination.
L’imagination est la capacité de la volonté à créer des idées à travers les vibrations de la force nerveuse dirigées vers les centres impulsifs.
Il s’agit ici de l’imagination active, et non de l’imagination passive, où les images apparaissent spontanément et de manière désordonnée, sans l’intervention de la volonté.
Par le biais des fluides nerveux de cette force vitale, l’esprit humain reçoit des informations des organes sensoriels et active la volonté.
Ainsi, la manière dont une personne utilise cette énergie, ainsi que l’équilibre entre les trois niveaux (physique, psychique et intellectuel), déterminent si elle sera :
• raisonnable ou irrationnelle (centre instinctif),
• vertueuse ou vicieuse (centre psychique),
• érudite ou ignorante (centre intellectuel).
Un exemple direct de l’influence de l’esprit sur la matière peut être trouvé dans le phénomène courant de l’indigestion, souvent causée par des raisons nerveuses, au moment où l’esprit est envahi par des émotions négatives telles que la peur, l’inquiétude, la colère ou l’envie.
Dans de tels cas, la conscience n’arrive pas à maîtriser ces émotions, qui commencent alors à agir de manière destructrice : elles influencent la physiologie, provoquant ainsi l’indigestion.
Ce phénomène, intimement lié aux états mentaux indésirables, a depuis longtemps été démontré comme une cause de nombreuses autres maladies.
De manière opposée, le phénomène placebo est une illustration claire de l’effet bénéfique de la foi et de l’optimisme, où l’état mental positif favorise la guérison.
Partie 4
Résume
L’essence fondamentale de l’art magique réside dans l’application de la volonté aux énergies naturelles, aux forces de la nature.
La volonté est une manifestation du Soi supérieur, une essence spirituelle. Elle doit être développée et active, et tous les impulsions, réflexes et instincts doivent lui être subordonnés.
La volonté consciemment manifestée n’agit pas directement sur la matière, mais sur le plan astral des “formations”, qui modifie la matière. Elle agit sur la force vitale et se dirige vers un objet ou une idée spécifique à travers les énergies naturelles (force personnelle, force divine, force terrestre et autres éléments).
Pour trouver son Soi supérieur, il est nécessaire de prendre conscience de la présence d’une Réalité supérieure et d’établir une connexion personnelle avec cette réalité .
Cette connexion établie est la clé pour acquérir des capacités extraordinaires.
On peut regarder sans voir, écouter sans entendre, percevoir sans ressentir…
«Nous ne pouvons pas affirmer que l’œil voit, car la connaissance de l’invisible dépend uniquement du degré de perfection de nos organes.»
Un être humain qui ne contrôle pas ses émotions et qui reste prisonnier des modèles et des influences externes, percevant le monde uniquement à travers ses sens physiques, ne pourra jamais accéder à ce savoir et des pouvoirs supérieurs.
La foi crée la volonté, renforce l’imagination et transforme les idées en réalité.
Une volonté forte peut dominer une volonté faible.
C’est seulement par la connaissance de soi que l’on peut apprendre à percevoir le monde de l’intérieur.
Et c’est ainsi que l’on peut obtenir une vision pure, non déformée par des influences extérieures, et entendre la véritable voix de son être intérieur.
Résume
L’essence fondamentale de l’art magique réside dans l’application de la volonté aux énergies naturelles, aux forces de la nature.
La volonté est une manifestation du Soi supérieur, une essence spirituelle. Elle doit être développée et active, et tous les impulsions, réflexes et instincts doivent lui être subordonnés.
La volonté consciemment manifestée n’agit pas directement sur la matière, mais sur le plan astral des “formations”, qui modifie la matière. Elle agit sur la force vitale et se dirige vers un objet ou une idée spécifique à travers les énergies naturelles (force personnelle, force divine, force terrestre et autres éléments).
Pour trouver son Soi supérieur, il est nécessaire de prendre conscience de la présence d’une Réalité supérieure et d’établir une connexion personnelle avec cette réalité .
Cette connexion établie est la clé pour acquérir des capacités extraordinaires.
On peut regarder sans voir, écouter sans entendre, percevoir sans ressentir…
«Nous ne pouvons pas affirmer que l’œil voit, car la connaissance de l’invisible dépend uniquement du degré de perfection de nos organes.»
Un être humain qui ne contrôle pas ses émotions et qui reste prisonnier des modèles et des influences externes, percevant le monde uniquement à travers ses sens physiques, ne pourra jamais accéder à ce savoir et des pouvoirs supérieurs.
La foi crée la volonté, renforce l’imagination et transforme les idées en réalité.
Une volonté forte peut dominer une volonté faible.
C’est seulement par la connaissance de soi que l’on peut apprendre à percevoir le monde de l’intérieur.
Et c’est ainsi que l’on peut obtenir une vision pure, non déformée par des influences extérieures, et entendre la véritable voix de son être intérieur.
Dans la philosophie orientale, on dit souvent :
« Lorsque l’élève est prêt, le maître apparaît. »
Cette sagesse reflète une loi naturelle de la vie :
nous attirons dans notre existence les enseignants, les situations et les événements qui correspondent à notre niveau de développement et à notre disposition au changement.
Parfois, pour que quelque chose entre dans notre vie, il ne suffit pas seulement de le vouloir, mais aussi de créer les conditions internes et externes nécessaires.
L’être humain est un aimant qui attire les événements, les circonstances et les personnes alignées sur la même « fréquence » que lui.
Nos objectifs ne sont que le reflet extérieur de nos valeurs intérieures.
La pratique de la gestion de la réalité
Pour commencer à prendre en main sa réalité, il est essentiel d’apprendre trois compétences clés :
1. La conscience de soi.
C’est la capacité à observer ses pensées, ses émotions et ses actions.
Une personne consciente comprend pourquoi elle agit d’une certaine manière, reconnaît ses désirs et leurs véritables raisons.
2. La concentration.
Savoir focaliser son attention sur ce que l’on souhaite réellement atteindre.
Des pensées dispersées et des peurs peuvent empêcher d’atteindre un objectif, alors qu’une vision claire du résultat et une concentration sur celui-ci rapprochent du but désiré.
3. Le travail avec le subconscient.
Notre subconscient est un immense réservoir d’énergie qui peut être orienté vers la réalisation de nos objectifs.
C’est là que sont stockées de nombreuses croyances et programmations qui, soit nous soutiennent, soit, au contraire, bloquent notre succès.
Grâce à la méditation, la visualisation et d’autres techniques, il est possible de « reprogrammer » notre subconscient sur une fréquence positive.
Points essentiels à retenir :
• Toute transformation personnelle est un processus qui demande du temps et de la patience.
• Le contrôle de la réalité commence par le contrôle de soi.
• Tous les changements dans le monde extérieur sont le reflet des transformations intérieures.
Change-toi toi-même, et le monde autour de toi changera.
« Lorsque l’élève est prêt, le maître apparaît. »
Cette sagesse reflète une loi naturelle de la vie :
nous attirons dans notre existence les enseignants, les situations et les événements qui correspondent à notre niveau de développement et à notre disposition au changement.
Parfois, pour que quelque chose entre dans notre vie, il ne suffit pas seulement de le vouloir, mais aussi de créer les conditions internes et externes nécessaires.
L’être humain est un aimant qui attire les événements, les circonstances et les personnes alignées sur la même « fréquence » que lui.
Nos objectifs ne sont que le reflet extérieur de nos valeurs intérieures.
La pratique de la gestion de la réalité
Pour commencer à prendre en main sa réalité, il est essentiel d’apprendre trois compétences clés :
1. La conscience de soi.
C’est la capacité à observer ses pensées, ses émotions et ses actions.
Une personne consciente comprend pourquoi elle agit d’une certaine manière, reconnaît ses désirs et leurs véritables raisons.
2. La concentration.
Savoir focaliser son attention sur ce que l’on souhaite réellement atteindre.
Des pensées dispersées et des peurs peuvent empêcher d’atteindre un objectif, alors qu’une vision claire du résultat et une concentration sur celui-ci rapprochent du but désiré.
3. Le travail avec le subconscient.
Notre subconscient est un immense réservoir d’énergie qui peut être orienté vers la réalisation de nos objectifs.
C’est là que sont stockées de nombreuses croyances et programmations qui, soit nous soutiennent, soit, au contraire, bloquent notre succès.
Grâce à la méditation, la visualisation et d’autres techniques, il est possible de « reprogrammer » notre subconscient sur une fréquence positive.
Points essentiels à retenir :
• Toute transformation personnelle est un processus qui demande du temps et de la patience.
• Le contrôle de la réalité commence par le contrôle de soi.
• Tous les changements dans le monde extérieur sont le reflet des transformations intérieures.
Change-toi toi-même, et le monde autour de toi changera.
On peut trouver diverses définitions et manifestations de la magie, mais pour ma part, je les vois partout, chaque jour.
La naissance d’un être humain, le cycle des saisons, les merveilles du règne végétal et animal — tout cela n’est rien d’autre que de la magie divine.
Le pouvoir de l’imagination et de la foi peut à la fois provoquer et guérir des maladies.
Les malédictions et les bénédictions ont un impact réel.
L’univers lui-même est la matérialisation de la volonté de la Conscience Supérieure, et chaque être humain est un microcosme dans le macrocosme de l’univers.
Et cela, chers amis, ouvre des possibilités divines !
Tous les miracles qui se produisent ne sont pas le fruit du hasard, mais le résultat logique du savoir et de l’effort de volonté d’une personne ayant réalisé sa véritable nature et établi une connexion spirituelle avec l’Ordre Divin Supérieur.
La naissance d’un être humain, le cycle des saisons, les merveilles du règne végétal et animal — tout cela n’est rien d’autre que de la magie divine.
Le pouvoir de l’imagination et de la foi peut à la fois provoquer et guérir des maladies.
Les malédictions et les bénédictions ont un impact réel.
L’univers lui-même est la matérialisation de la volonté de la Conscience Supérieure, et chaque être humain est un microcosme dans le macrocosme de l’univers.
Et cela, chers amis, ouvre des possibilités divines !
Tous les miracles qui se produisent ne sont pas le fruit du hasard, mais le résultat logique du savoir et de l’effort de volonté d’une personne ayant réalisé sa véritable nature et établi une connexion spirituelle avec l’Ordre Divin Supérieur.
